vendredi 3 avril 2009

Another soul lost in the dark

Croire une fois encore à l'évidence si forte, si grande.
Et sans plus rien se dire, sentir que quelque part dans Paris cette nuit, quelqu'un que je connais si bien, si peu, écoute ces notes là en même temps que moi.
Et sans plus rien retenir, voir les gouttes qui se crashent et qui dégoulinent sur le volant de la Clio positionnée en automatique, l'esprit en roue libre, les regrets au parking, un trou béant dans la poitrine.

6 commentaires:

VéroPapillon a dit…

C'est sûr, il y a quelqu'un qui écoute cette musique, mais c'est sûrement pas le seul. Suis sûre qu'il y en a d'autres qui peuvent colmater ce "trou béant", non ?
Plein de bises de papillon

Bougrenette a dit…

Tu as le chic pour utiliser des images qui me fascinent, tu me montreras ton trou béant la prochaine fois ? ;-) et je veux voir les gouttes aussi ... bon tout ça pour ne rien dire, je n'ai pas le commentaire pertinent :-) mais je t'embrasse fort !

les nuages bavards a dit…

> Véro
Je t'embrasse aussi...

> Bougrenette
Heureusement que je n'ai pas répondu hier soir à ce commentaire, car Blogspot l'avait attribué à Philo (???). Ca bug grave ici ! Faut que je me méfie... Merci pour le chic et les bisous. Je t'en fais aussi.

Bougrenette a dit…

et tu aurais répondu quoi à Philo ? ... ;-) blogspot est un farceur si il mélange les pseudos des commentateurs, je n'ose imaginer les quiproquos que cela pourrait entrainer.

Ibid Norio a dit…

tes images sont fortes et tres belles...
bizous

les nuages bavards a dit…

> Bougrenette
Ché pas... je lui aurai dit de laisser mon trou béant tranquille ? ;)

> Ibid Norio
Merci Ibid...

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